Construire une lampe de salon avec trois fois rien
On a souvent envie d’acheter du neuf quand il nous manque quelque chose à la maison, alors que parfois, il suffit de récupérer deux trois vieilles bricoles pour créer des objets mignons comme tout, et personnalisés.
Les éclairages tamisés sont par exemple ce qui manque souvent à une pièce, ou sont ceux qui peuvent faire la différence au niveau ambiance, comme nous le disions dans un précédent article. Voici comment, simplement et avec pas grand chose, créer votre propre lampe de salon et embellir votre intérieur d’une chaude lumière.
Dans l’atelier :
- Un vieux rideau
- Un manche à balai
- Deux cintres en bois
- Deux doubles décimètres en bois
- Deux cercles de broderie en bois
- De la peinture qui s’accorde de préférence à la couleur des vieux rideaux.
- De la super glue et du ruban adhésif
- Une ampoule et son fil interrupteur
Au travail !
Coupez les cintres en deux à leur exact milieu.
Collez-les le long du manche à balai pour créer les 4 pieds de soutien à la lampe.
Sur l’autre extrémité du manche, collez superposées l’une sur l’autre, les règles en bois. Faites attention à bien les disposer en leur centre pour que la lampe soit bien droite.
Peignez le tout en harmonie avec la couleur des rideaux.
Ainsi que les deux cercles de broderie.
Prenez les mesures de vos cercles (la circonférence) et découpez vos rideaux en respectant ces mesures.
Une fois que tout est sec, vous pouvez insérer vos rideaux dans les cercles de manière à créer le fourreau qui fera l’abat-jour de la lampe.
Le long du manche à balai, collez, enroulée, une feuille d’aluminium.
Vous pourrez ainsi y scotcher l’ampoule en laissant pendre le fil et la prise vers le bas.
Il ne reste qu’à installer votre fourreau-rideau.
Et voilà une superbe lampe qui habille votre chambre ou pièce à vivre !
Vous pouvez retrouver cette astuce en vidéo (indications en anglais) :
Une manière tout en simplicité et beauté de réutiliser ce que nous serions tentés de jeter et de ne pas acheter du neuf pour quelque chose qu’il est bien plus chouette – et plus économique – de réaliser nous-mêmes.
