Galerie photos : 20 pochettes de disques embarrassantes
Jusqu’en 1940, les disques étaient vendus dans un emballage uniforme jusqu’à ce qu’un graphiste de Columbia Records a eu l’idée d’ajouter une image de couverture à la boîte. Les disques se sont alors très vite écoulés dès leur sortie. Depuis, les pochettes d’albums pour vinyle et CD font partie intégrante de l’industrie de la musique et sont devenues un outil de marketing et un support artistique indispensable.
Au cours de l’histoire de la musique, de nombreuses pochettes de disques légendaires, qui resteront à jamais gravées dans la mémoire collective, ont été créées. Cependant, on a également vu sortir des ignominies qui en ont fait saigner du nez plus d’un et qui sont une insulte à la créativité. Voici 20 exemples de désastres qui ont été exposés en boutique, et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’ils sont… marquants. On vous laisse regarder :
1) Hum hum… « Mes lèvres sont faites pour sucer. » (littéralement : « souffler »)
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2) « Les 16 ans de Julie. » Il ne semble pourtant pas y avoir de raison de fêter ça. Qu’est-ce qui s’est passé ? C’était la musique de John Bult ?
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3) Millie Jackson (non apparentée aux Jackson 5) avec son album live de 1989 Back to the S**t ! (Retour à la me**e !). Ça devait donc être de bonne qualité…
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4) « Tu dois laver ton cul » Si là, on n’a pas compris que c’était pourri…
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5) « Tous mes amis sont morts » – quel titre optimiste ! C’est à cause de la couverture ou de la musique de Freddie Gage en général ?
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6) Heureusement, l’artiste de cabaret bavarois Gerhard Polt montre plus de précision dans ses coups de poing que dans ses pochettes de disques.
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7) Cela promet d’être sauvage : deux mecs bizarres, une guitare électrique et un accordéon…
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8) La pochette du deuxième album solo de Kevin Rowland (chanteur emblématique du groupe anglais Dexys Midnight Runners) sorti en 1999.
L’homme représenté ici, qui joue avec les genres, n’est pas l’artiste.
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9) « Je mange des enfants – et d’autres chansons pour enfants rebelles. » Voilà, voilà !
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10) Sûrement la pochette la plus angoissante au monde.
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11) « Connaissez-vous Jésus ? » Demandez à oncle Les et tante Nancy Wheeler accompagnés de Randy.
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12) Sans commentaire…
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13) « Sauce spaghetti et autres plaisirs. » On ne veut pas savoir quels sont les autres plaisirs…
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14) « Doigter et prier pour le Seigneur. »
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15) Dans les années 60, il était assez courant pour les musiciens anglophones de ré-enregistrer leurs chansons dans la langue nationale d’autres pays. Par exemple, Johnny Cash a enregistré une version allemande de I Walk The Line et les Beatles ont chanté She Loves You en allemand.
Apparemment, l’apparence des artistes étaient également adaptée au marché national respectif… On aime le sourire naturel de George Harrison. John Lennon rappelle un peu Kim Jong-un.
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16) En 1995, la légende de la lutte américaine Hulk Hogan s’est essayé à la musique. C’est la pochette de son seul album, American Made, que Hogan a enregistré avec le Wrestling Boot Band.
L’album contient des titres aussi illustres que Hulkster’s in the House, Hulkster’s Back, I Want To Be A Hulkamaniac, Hulk’s The One, Hulkster in Heaven ou Hulk Rules. Au cas où on ne l’aurait pas compris, Hulk Hogan aimait chanter sur lui.
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17) Quim Barreiros est un chanteur et accordéoniste portugais dont la musique se base sur des chansons folkloriques du Portugal et du Brésil. Son dernier album est sorti en 2018.
L’album montré ici date de 1973 et porte le titre : J’ai reçu une invitation (chez Jóquinas). Et c’est comme ça qu’il se montre ? Ah, ces accordéonistes…
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18) En effet, les accordéonistes sont des fous ! « Ils ont dit que c’était impossible ! Mais ils ne s’attendaient pas au Mighty Accordion Band. »
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19) Euh…
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20) Bon, bon, bon…
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On ne sait pas trop si l’on doit rire ou pleurer… Avez-vous des pochettes comme celles-ci en votre possession ? Montrez-les-nous.
